La pollution atmosphérique est un phénomène endémique, plus spécifiquement, localement parlant. Des restrictions, notamment liées directement à la consommation des foyers, continuent d’être prises par le gouvernement afin de réduire un maximum les effets de nos habitudes de chauffage et d’alimentation énergétique des foyers français. On vous révèle comment jauger les performances de votre appareil de chauffage au bois.
À quoi le label Flamme verte fait-il référence ?
Le label Flamme verte est une appellation qui vise à mener les ménages à se défaire de moyen de chauffage trop consommateur et productrice de déjections nocives pour la santé et l’environnement. Créé en 2000 par l’ADEME, ou Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, ainsi que par les professionnels de chauffage au bois. Le label Flamme verte vient contrer l’interdiction de possession de foyer à cheminée ouvert entrée en vigueur le 1ᵉʳ avril 2023.
Par une labellisation, certains produits de la même branche sont jaugés par une option d’alternative éco-durable et par la proposition d’un principe de classification variant selon les performances énergétiques et émissions polluantes des appareils. Le rendement et émission de particules sont calculés sur une échelle de 1 à 7 étoiles dont 7 est la meilleure offre existante sur le marché. Entre autres, son rendement est optimisé à 85 %, et ses émissions en CO₂, ou autres réjections polluantes, sont inférieures à 20 mg/Nm3.
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Un label localement parfois obligatoire
Certaines régions ou villes de France ont déjà interdit aux habitants de se chauffer via une cheminée à foyer ouvert. Une cheminée à foyer ouvert est un moyen de chauffer votre domicile. Une niche est aménagée dans un mur, ou sous la forme d’un îlot central. Cette niche est connectée à un conduit d’évacuation des fumées qui se dirige directement vers l’extérieur par le toit ou par une évacuation aménagée dans un mur. Cela est majoritairement producteur de réjection en CO₂ qui n’est pas contrebalancé. La surconsommation de bois en est effectivement importante avec un rendement faible de 15 %.
Protéger la vie des citoyens, proposer un meilleur cadre de vie et une qualité de l’air plus nette sont les motifs de telles implications communales ou départementales. À Lyon, il a été décidé depuis début avril 2023 que les locaux souhaitant établir un changement dans leur appareil de chauffage devront habiliter leur domicile d’un nouveau système. Cette obligation met en avant le fait que l’appareil choisi devra être labellisé. Le label Flamme verte s’introduit comme recours et secours de cette interdiction des chauffages à bois ouverts.
Les prestataires du chauffage à bois utilisent ce label
Outre les particuliers qui alimentent leur système de chauffage avec des appareils possédant ce label, les professionnels sont bien heureux de l’avoir sous la main. Un label est toujours une bonne chose pour la vente de bien ou de service. Les labels sont une preuve de l’implication et d’engagement social qu’une marque accorde à ses clients. C’est l’assurance d’une transparence sans défaut.
Avec le label Flamme verte, une marque se différencie de ses concurrents en assurant de proposer des appareils avec :
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- une performance optimale,
- un bon rendement selon une classification,
- l’assurance de savoir à quel type et famille le produit fait partie.
Une entreprise peut ainsi s’imposer dans un commerce de propositions déjà existant par le simple affichage du label.
Marque déposée, elle ne peut pas être utilisée autrement et par n’importe qui, sinon les fabricants et les distributeurs d’appareils de chauffage au bois. Bien sûr, cela ne se fait pas sans respecter des normes de fabrication, de consommation et de production de fumée en cours d’utilisation qui doivent respecter un certain seuil.
Les évolutions technologiques sont à prendre en considération comme mesure d’évaluation. Il est impossible aujourd’hui d’émettre une hypothèse d’avancée sans une utilisation au préalable pour envisager les évolutions possibles selon les besoins ou attentes des prospects. Les terminaux en ligne ou digitaux sont mis à jour à intervalles réguliers. Ainsi, avant d’être proposé à un échantillon de clients, les appareils sont testés en laboratoire par des protocoles concis.
Ces protocoles sont capables de mesurer leur rendement et leurs émissions de CO₂ et de particules fines pour que personne n’ait à souffrir à l’avenir des répercussions que le choix d’un mauvais moyen de chauffage puisse engendrer.
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Le feu n’a plus de fumée quand il est devenu flamme